Me tenant en laisse agenouillé à ses pieds, elle me reprocha de n’avoir pu me libérer plus tôt. Je n’étais autorisé à partir en vacances que lorsqu’elle-même se trouvait absente de Paris. De toutes façons, ces congés étaient vite ennuyants à coté du bonheur de servir une personne aussi exceptionnelle que Mademoiselle Ava Swann.
Il va de soit que la punition qu’elle m’infligea avec un fouet à neuf lanières fut particulièrement douloureuse. Peu après,Il me fut permis tout de même de masser longuement son dos gracieux et ses jambes divines. Esquissant un sourire,satisfaite de me voir aussi concentré sur ma tâche malgré des douleurs persistantes, Mademoiselle Ava Swann me lança : « J’espère, Boris, que tu auras bien retenu la leçon »